Bas-fonds subit actuellement un petit lifting. Une idée qui m'est venue et qui complète parfaitement le roman.
En attendant je vous propose de découvrir le pitch de la bête :
"Une porte… Un tour de clé… La nuit qui s'abat sur moi. Les catacombes ! Monde presque vierge. Un endroit parfait pour y faire son trou. Cela fait maintenant quelques jours que tout est terminé, mais visiblement certains événements ne sont pas faits pour rester secrets. Je vais devoir intervenir une fois encore."
Pour Vincent Demars, capitaine au SRPJ de Lyon, les années se succèdent avec la même précision morbide. Un mystérieux tueur, violent et particulièrement sanguinaire, reproduit les mêmes crimes depuis plus de vingt ans à quelques jours de Noël. Les victimes : le père, la mère, la fille. Systématiquement.
Cette régularité d’horloger va être mise à mal. Alors que Demars est sur le point d’aboutir à la résolution d’une nouvelle affaire de crimes en série, Vickers, le tueur suspecté, va le propulser dans l’horreur. L’homme a enlevé son fils et lui propose un échange : la chair de sa chair contre sa participation active dans le jeu qu’il a mis en place.
Bas-fonds est une véritable descente en enfer !
Au cours de cette exploration, le lecteur pénètrera au plus profond des pensées abjectes d’un des pires monstres lyonnais : celui des catacombes.
« L’enfer existe ! Je l’ai vu. Même si je ne l’avais pas imaginé comme ça, j’étais persuadé que quelque chose de sombre, d’horrible, de corrompu rampait dans l’ombre.
Je l’avais projeté sur un plan parallèle, loin de nos villes, loin de nos enfants. Mais ce n’est pas le cas. L’enfer est proche de nous. Si proche…
Je l’ai découvert au hasard de mes explorations, à quelques mètres seulement de la surface agitée de la cité. »
mardi 22 juin 2010
Inscription à :
Articles (Atom)